ÇA M’INTERESSE : la TV par câble, satellite ou ADSL, 2ème service indispensable
Paris - Publié le mercredi 1 mars 2006 à 10 h 31 - n° 190681La télévision par câble, satellite ou ADSL représente l’un des deux services les plus importants au quotidien pour 29 % des personnes interrogées par TNS Sofres pour le magazine Ça m’intéresse qui paraît aujourd’hui. A la question « Parmi les dix services suivants, quels sont les deux qui ont le plus d’importance dans votre vie quotidienne ? », 54 % des sondés citent la carte bleue, suivie à 29 % par la télévision par câble, satellite ou ADSL, qui se place devant internet (24 %), le hard discount (24 %) et les produits surgelés (15 %).
Les hommes sont plus nombreux à citer la télévision de complément (31 %) et particulièrement les 65-74 ans (36 %), suivis des 18-24 ans (30 %). Les femmes, elles, la font devancer par le hard discount (27 % contre 26 % pour la TV). En terme de situation professionnelle, la TV par câble, satellite ou ADSL est plus particulièrement citée chez les chômeurs (32 %), les retraités (30 %) et les « autres inactifs » (35 %), indique le sondage. Qui précise qu’avec 33 % de réponses les ouvriers sont sur-représentés, ainsi que les personnes sans diplôme ou avec un niveau certificat d’études (38 %). La télévision de complément est plus souvent citée par les sondés habitant en zone « rurale isolée » (33 %), les personnes vivant dans un foyer ayant moins de 800 € mensuels ou de 1 501 € à 2 300 € (31 % chacun), ceux ayant moins de 800 € par mois mettant toutefois en 2ème position le hard discount (38 %). Les sympathisants du parti communiste (36 %) et ceux de l’UMP (35 %) sont sur-représentés dans le classement par « préférence partisane », la droite parlementaire citant à 31 % la télévision de complément dans les deux services les plus importants, contre 30 % pour la gauche.
Réalisé les 11 et 12 janvier à l’occasion des 25 ans du magazine Ça m’intéresse, ce sondage portait sur « Le regard des Français sur les 25 dernières années ». 1 000 personnes représentatives de 18 ans et plus ont été interrogées en face-à-face.