#Satellifax 25 ans : c’est la semaine anniversaire (Jour 3, où l’on parle de « l’aventure » de Satellifax… et de son fondateur Joël Wirsztel)
Paris - Publié le mercredi 21 octobre 2020 à 2 h 03 - n° 286722Satellifax fête ses 25 ans dans son édition quotidienne tout au long de cette semaine, et dans Satellifax Magazine de lundi 26 octobre. A nouveau, nous vous suggérons de privilégier une lecture de ce numéro en pdf, ne serait-ce que pour lire à la fin le fac-similé du n° 3 de Satellifax (à l’époque encore « Synthèse par fax de l’actualité satellite », qui prendra quelques jours plus tard le nom actuel), qui n’est disponible que dans la version pdf.
Ou pour lire plus confortablement les Cartes blanches écrites par nos lecteurs (aujourd’hui Emmanuel Kessler, pdg de Public Sénat et Françoise Abad, Head of Business Development de FDR Studio) et les contributions à notre Livre d’or qui se poursuivent tout au long de la semaine. Le livre d’or est d’ailleurs encore ouvert : livredor@satellifax.com.
Joël Wirsztel, Satellifax… la petite histoire !
Pendant une douzaine d’années directeur export d’une société fabriquant des petits ustensiles ménagers non électriques (louches, couteaux, ouvre-boîtes ou clés à sardines !), c’est d’une passion pour la télévision par satellite, concrétisée par une collaboration parallèle avec la revue Satellite TV Magazine, et de la tâche qui lui avait été confiée de création de son service Minitel 3615 SATV, qu’est venue ultérieurement au fondateur de Satellifax l’idée de la lettre. Sans aucune base journalistique au départ.
Les 2 pages des Satellifax des débuts étaient la retranscription sur papier des services Minitel 3615 Satphone/Actusat et 3615 Surpin (Serge Surpin, distributeur au détail de matériel satellite, le plus important de France, a soutenu les débuts de Satellifax et, en tant que cofondateur, en était partie prenante les quatre premières années, avant de reprendre sa liberté). Ces informations étaient également déclinées en Audiotel. Ces services Minitel et Audiotel ont perduré plusieurs années, longtemps après la création de la lettre en octobre 1995.
Travaillant seul à Satellifax au départ (le soir !), parallèlement la journée à des activités de direction commerciale dans le magasin Surpin, ce n’est qu’en 1998 qu’une première journaliste, Marie Maudieu, a rejoint l’aventure, alors que le fondateur s’y consacrait exclusivement depuis un an.
Le véritable démarrage de Satellifax, avec une large diffusion, peut se situer en 2002, lors des premières auditions de la TNT. La lettre s’est sans doute réellement fait connaître à l’occasion de ces auditions, et cela a perduré et perdure encore sous l’impulsion formidable des rédactrices en chef Yvane Dréant pour le quotidien, Anne-Sophie Filhoulaud pour Satellifax Magazine et Satellifax Talents, et de la passion des équipes.
Nos comptes rendus des auditions étaient faxés chaque nuit aux abonnés, donnant lieu à un recueil de quelque 720 pages, un succès d’image mais également commercial (l’étude, vendue à un prix raisonnable, s’est « arrachée »), que les équipes ont fêté dans un célèbre restaurant de la rue Troyon, aujourd’hui installé à La Monnaie. Le sérieux et la fiabilité du titre Satellifax se sont sans doute établis à partir de ce moment.
Aujourd’hui, titre toujours totalement indépendant, Satellifax et ses déclinaisons Satellifax Hebdo, Satellifax Magazine comptent quelque 12 000 lecteurs quotidiens (et 18 000 abonnés à la lettre gratuite des titres) et emploient 12 journalistes en équivalent temps plein.
Satellifax vit évidemment de la confiance renouvelée de ses abonnés. Et nous vous en remercions !
Joël Wirsztel
Fondateur, directeur de la publication et de la rédaction
(qui semble bien aimer parler de lui à la 3e personne !)